samedi 21 mars 2015

Gourous, gourous !


Tant qu'il y aura des hommes, il y aura des gourous. Notez bien que je ne condamne pas l'institution en sa forme idéale : nous avons besoins de maîtres. Mais seulement ses caricatures. 
Et il n'en manque pas...

D'abord Shankarananda, gourou de l'Ecole de Shiva. Il séduit, certes, bon. Mais il abuse aussi. Donc, exit.

Puis la gouroute folle qui, après avoir tenté d'occire son compagnon de yoga "à deux", l'a laissé crevé de faim dans une grotte. Un monstre au sourire d'ange, qui avait d'abord défrayé la chronique en vivant avec un moine bouddhiste texan qui avait fait fortune dans le diamant.

Et n'oublions pas la tulkoutte : serait-elle la réincarnation du Parrain ? A en juger d'après la manière dont elle terrorise son monde, je le croirais presque...

Quant à l'Impératrice du Bisou, je m'abstiendrai de tout commentaire. Je me suis fait assez d'ennemis ce jour, inutile d'en rajouter.

Et, puis, cette brave dame n'est rien à côté de notre champion des gourous fous, Ram Rahim Singh. C'est lui, dans le film, là :



Si, si. Il fait rire, mais il a quand même réussi à persuader près de 400 bougres de se castrer. The "Couic" Path To God.

Enfin, n'oublions pas les gourous à retardement. Ainsi ce Haré Krishna, condamné à Aix pour viol.

And The Road Goes On And On...

2 commentaires:

  1. Merci de m'avoir fait découvrir le terrible Ram Rahim Singh... Là on tient un champion toutes catégories.
    D'ailleurs le monsieur chante aussi: https://www.youtube.com/watch?v=Q48tagwurUw

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  2. Pour reconnaitre les faux gourous
    Ils disentt:"ya eux et il y a nous".

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