Le Mantra s'élève,
Rayon de la résorption,
Feu de la conscience qui fait disparaître les constructions mentales de la conscience.
L'un, lumière qui imbibe également le sujet, l'objet et la connaissance,
Se déploie, silencieux,
S'adonnant à la création des (multiples) énergies
Du feu, du soleil et de la lune.
(La réalité) au-delà de l'apparition, de la subsistance et de la résorption (des cognitions) est indicible, (mais) on la célèbre métaphoriquement à travers le rituel/ le comportement.
L'état suprême est un balancement intérieur entre manifestation et félicité.
Eraka, Hymne à Kâlî (Kramastotra)
L'art de Zia Mohiuddin Dagar, avec des explications sur le chant dhrupad et un poème adressé à l'empereur Akbar par Tansen :
Magnifique.
RépondreSupprimerLe silence comme mantra ou le mantra comme silence.
Qui est Eraka (désolé pour mon ignorance sans limite) ?
Voir commentaires du billet précédent.
RépondreSupprimerNB : ce sont des fragments de son Hymne, d'où le côté un peu décousu...