Philosophie et mystique, voie de la connaissance et de l'amour. Philo-sophia, amour de la sagesse, désir de vérité, expérience et réflexion. Yoga ou union du cœur et de la tête. La philosophie comme yoga, la philosophie comme pratique, éclairée et nourrie par la tradition du Tantra et autres sources que nous ont léguées nos ancêtres. Formation tantra traditionnel.
J'ai finalement été jeté un coup d'œil et suis restée jusqu'à la fin, ce qui tombe bien car j'ai eu une réponse aux frites, ce qui m'a permis de relâcher la résistance, et aussi après une belle réponse sur le pourquoi du comment.
Mais une question subsiste : si je vais complètement dans la vibration du cœur, ne vivrais-je pas comme un moine bouddhiste, mais au lieu du vide, je me nourrirais du désir ultime ? Ce faisant, j'aurais l'impression de passer à côté de la vie, de ses expériences, en restant à l'intérieur de moi. Alors où se situe la limite, s'il y en a une ? Cette pratique doit-elle avoir un minimum et un maximum au quotidien, ou s'agit-il de renoncer quelque part à vivre,comme le bouddhisme mais d'une manière différente ? Je n'ai pas l'impression que c'est ce que vous faites cependant.
Aussi, une dernière question : pourquoi avez-vous dit que le divin nous laisse toute la liberté ? Et ne sommes nous pas le divin d'ailleurs ?
La vibration du cœur est la vie source de toute vie, contenant la vie, la vérité et l'être. Il n'y a pas de fin dans l'infini. Pour le reste, c'est à l'expérience de vous éclairer. Dieu est tout puissant, mais j'ai le libre-arbitre. C'est ainsi. Je ne peut m'accomplir sans lui, mais il ne peut m'accomplir sans mon franc consentement. Nous sommes une vague dans la mer, ni la mer, ni séparés de la mer.
J'ai finalement été jeté un coup d'œil et suis restée jusqu'à la fin, ce qui tombe bien car j'ai eu une réponse aux frites, ce qui m'a permis de relâcher la résistance, et aussi après une belle réponse sur le pourquoi du comment.
RépondreSupprimerMais une question subsiste : si je vais complètement dans la vibration du cœur, ne vivrais-je pas comme un moine bouddhiste, mais au lieu du vide, je me nourrirais du désir ultime ? Ce faisant, j'aurais l'impression de passer à côté de la vie, de ses expériences, en restant à l'intérieur de moi. Alors où se situe la limite, s'il y en a une ? Cette pratique doit-elle avoir un minimum et un maximum au quotidien, ou s'agit-il de renoncer quelque part à vivre,comme le bouddhisme mais d'une manière différente ? Je n'ai pas l'impression que c'est ce que vous faites cependant.
Aussi, une dernière question : pourquoi avez-vous dit que le divin nous laisse toute la liberté ? Et ne sommes nous pas le divin d'ailleurs ?
La vibration du cœur est la vie source de toute vie, contenant la vie, la vérité et l'être. Il n'y a pas de fin dans l'infini. Pour le reste, c'est à l'expérience de vous éclairer.
SupprimerDieu est tout puissant, mais j'ai le libre-arbitre. C'est ainsi. Je ne peut m'accomplir sans lui, mais il ne peut m'accomplir sans mon franc consentement. Nous sommes une vague dans la mer, ni la mer, ni séparés de la mer.