"Vivons-nous pour être heureux ?"
Lu dans une introduction :
"Tout esclave humain pratiquant la technique et muni d'un esprit détonateur de risque par mémoire d'expériences, l'affûte comme une lance afin d'incessamment faciliter le tripalium et son ressenti qu'elle induit (...) Le confort de la transformation de résidus arboriques (ou aborigènes) en nid-progéniteurs, la récompense qu'engendre le travail de mémorisation d'une souris de laboratoire, la répétition voulue d'un plaisir dénué - de préférence - de tout effort confondant expérience de qualité et vice en abondance : qu'est-ce que cette quête nouvelle/ naissante au sein d'une conscience consécutivement devenue plus aisément réfléchie que la spontanéité intemporelle ?"
Hum...
Quelqu'un comprend ou c'est moi qui flanche ?
C'est pourtant clair !
RépondreSupprimerIl suffit d'ouvrir les sens pour semer l'inéluctable certitude dans la continuité. Non pas pour ceci ou cela, et encore moins pour l'opposé, mais avec certitude et complète liberté dans le lien du tout avec le reste. Petit à petit, il apparaît évidemment, car le doute est en fait la racine de l'arbre. Ne pas comprendre est une possibilité à ne pas rechercher, dans tous les sens du terme explicite. !!
Hum hum ...!