Tout baigne dans la conscience.
En cet instant.
La conscience s'est oubliée et s'est identifiée à ses créations, à certaines plus que d'autres - "mon" corps, "mon" ressenti, "ma" famille, "ma" communauté, "mon" opinion.
Mais elle reste libre comme le ciel.
Il suffit de le reconnaître.
Il y a toutefois des moments, des occasions où la reconnaissance de notre essence est plus facile, semble-t-il.
Par exemple, au premier instant d'une émotion, d'une surprise, d'un choc, d'une joie, d'une peur, quand la situation n'a pas encore bifurqué en "fuir ou combattre". Ou entre deux pensées, deux respirations. Comme entre deux nuages.
La tradition du tantra non-duel décrit ces occasions de manière très précise. C'est l'une de ses spécialités.
Nous avons donc le choix à chaque instant :
Soit suivre la voie des pensées et des sensations.
Soit suivre la voie de ce qui est présent entre les pensées et les émotions.
Quelles sont ces circonstances ? Qu'ont-elles de particulier ? A quelles conditions sont-elles un accès vers notre vraie nature ? Que s'ensuit-il ?
Conférence gratuite
Lundi 16 juin 2014
19h-20h30
Attention : le début de la séance est reporté d'une demi-heure.
salle Maurice Allais, Carré des sciences, 1 rue Descartes, 75005 Paris
Attention : pour les séances se déroulant au Carré des sciences, vous devez donner votre nom et présenter votre pièce d'identité ou votre passeport.
Bonjour Monsieur Dubois. N'est-ce pas plutôt le lundi 23 juin ?
RépondreSupprimerC'est ce lundi, le 16 juin. Mais aussi le lundi suivant, le 23 juin. Merci d'avoir attiré mon attention sur cette erreur !
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