Beaucoup d'arguments pertinents. Selon lui, la racine du mal est le "productivisme". Selon moi, c'est plutôt la surpopulation. Ou alors, le natalisme est une forme de productivisme. En effet, tous le monde pointe les limites inévitables de la croissance économique ; personne, ou presque, ne voit les limites de la croissance démographique. Si l'on récuse le "toujours plus", pourquoi n'évoque-t-on jamais le "toujours plus" d'enfants qui continue d'être la doctrine de la plupart des familles humaines ? Ici l'ex-ministre aborde indirectement ce sujet à travers les thèmes de l'immigration, des retraites et du "small is beautifull". Je suis d'accord avec lui.
Tant que l'humanité ne maîtrisera pas sa démographie, elle ira droit vers des formes de régulation violentes.
En résumé "Moins, c'est plus". Ou mieux. Plutôt que de "décroissance", je préfère l'idéal de dépopulation, non par haine de l'humanité (attitude déplorable), mais afin de privilégier la qualité sur la quantité, projet rendu réalisable par les nouvelles technologies.
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