Quand l'âme a mal,
elle n'a plus qu'à se laisser tomber
à genoux,
tournée vers le foyer,
vers la lumière ignée.
Cette aube première l'accueille enfin
en son ventre sans limite ni centre.
Un feu velouté cautérise les brûlures
avec un miel tout de rien.
Les flammèches lèchent le bas de la poitrine.
Un intérieur tète le sein de l'origine présente,
le regard fixe, perdu dans cela qui est partout.
Les vagues se consomment en l'état du total des eaux,
L'ardeur des peines se consume en tant de fraîche douceur,
et l'intérieur jubile dans une muette étendue d'air inconnu.
elle n'a plus qu'à se laisser tomber
à genoux,
tournée vers le foyer,
vers la lumière ignée.
Cette aube première l'accueille enfin
en son ventre sans limite ni centre.
Un feu velouté cautérise les brûlures
avec un miel tout de rien.
Les flammèches lèchent le bas de la poitrine.
Un intérieur tète le sein de l'origine présente,
le regard fixe, perdu dans cela qui est partout.
Les vagues se consomment en l'état du total des eaux,
L'ardeur des peines se consume en tant de fraîche douceur,
et l'intérieur jubile dans une muette étendue d'air inconnu.
J'écoute une parole sans ordre de discours,
un appel à l'animale mélodie.
A genoux, et ce sera tout.
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